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Porsche 911

Un mythe depuis 55 ans !

La Porsche 911 est à l’image de Marlène Dietrich : tout un chacun la connaît …même sans l’avoir connue. Focus sur celle qui fête ses 55 automnes.

Mots : Bob Monard
© 2018 Porsche Cars North America

Septembre 1963, Salon de Francfort. Porsche présente la 901 dont la production démarre un an plus tard. La même année, lorsque Porsche dévoile son bolide au Salon de Paris, Peugeot marque son véto. Motif : le constructeur français avait déposé les désignations de modèle à trois chiffres avec un 0 au milieu. Dès lors, Porsche rebaptise sa 901 en 911, le numéro d’urgence aux States, marché orissant du constructeur allemand.

Au début de cette splendide histoire, il y a la 356. Qui sert de base en 1959 à l’élaboration de la 911 qui se doit d’être plus performante, plus spacieuse et plus confortable. Et pour remettre les choses à plat, on précisera que son at six disposé en porte-à-faux arrière est toujours d’actualité ! Le 11 mai 2017, Porsche célébrait le millionième exemplaire de la Porsche 911.

Élaborée sur la base de la célébrissime VW Coccinelle, elle s’en remet à un 2 litres de 130 ch. Au l des ans et des décennies, la mécanique s’affûte. Du 2 litres au 2,2 litres, du 2,4 litres au 2,7 litres, du 3 litres au 3,5 litres et au 3,6 litres, du 3,8 litres au 4 litres,… elle passe successivement à 160 ch en 1966, 210 ch en 1972, 180 ch, 188 ch et 204 ch en 1978. Cette année, la motorisation oscille entre 370 et 700 chevaux. Soit 55 années pour multiplier sa cavalerie par 5 !

Les parures de l’heure sont griffées Coupé, Cabrio, Targa. La première citée comporte 12 déclinaisons de 370 à 700 ch, la deuxième en totalise 8 de 370 à 581 ch et la troisième en aligne 3 de 370 à 450 ch.

La Targa, en hommage à la course sicilienne Targa Florio que Porsche remporte 11 fois, est lancée en 1966 : elle se caractérise par un toit partiellement découvrable avec d’abord un arceau fixe de couleur chrome puis noir par la suite.

Cette légendaire 911 aura donc engendré une belle descendance. Et inspiré bien d’autres sacrées créatures de Stuttgart telles les 924, 944, 928, Boxster et Cayman.

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© Eric Saunders

Ses titres de gloire

Même le profane le sait : Porsche s’est depuis toujours distinguée en compétition ! Et les titres prestigieux de la 911 sont pléthore.

En rallye comme en circuit. On relève donc des victoires au Rallye de Monte-Carlo, au Tour de Corse, au Liège- Rome-Liège, au San Rémo, à l’Acropole, au Catalogne et au Tour de France Auto. Chez nous, la 911 a remporté les 24 Heures d’Ypres et le Bianchi Rally à 3 reprises pour 5 fois le Condroz. Championne d’Europe des rallyes et lauréate en France, en Espagne, en Allemagne, Suisse, Grèce, Autriche et en… Belgique, la 911 s’impose aussi 6 fois aux 24 Heures de Spa et aux 24 Heures du Nurburgring, trois fois aux 24 Heures de Daytona et aux 12 Heures de Sebring et deux fois aux 82 Heures du Nürburgring. En sus du titre de Championnat d’Europe FIA des voitures de tourisme et 9 victoires de catégorie aux 24 Heures du Mans. Sans oublier la plus haute marche du podium au Dakar en 1984 et 1986.

Quelques pilotes de la 911

Vic Elford, Pauli et henri Toivonen, Antonio Zanini, Guy Chasseuil, Bernard Béguin, Björn Waldegård, Jean-Pierre Nicolas, Gérard Larrousse, Jean-Luc Thérier, François Delecour, Herbert Müller, Gijs van Lennep, René Metge, Kévin Estre, Sébastien Loeb, Michael Christensen. Et Patrick Dempsey, pilote et propriétaire d’écurie !

Nos Belges : Willy Braillard, Jean-Pierre Gaban, Marc Duez, Jean-Louis Dumont, Robert Droogmans, Patrick Snijers, Claude Bourgoignie et Stéphane Lémeret, Laurens Vanthoor. Jacky Ickx, avec l’acteur Claude Brasseur au 6ème Rallye Paris-Alger-Dakar.

La 992 est demandée !

La « 992 », c’est pour l’an prochain. Elle reste dèlement dans la lignée des 911 et succède à la 991 en s’en remettant toujours à des 6 cylindres. Elle marque le retour aux feux arrière plus ns reliés par un unique bandeau transversal lumineux comme sur les Panamera, Cayenne et new Macan. L’aileron redimensionné s’empare de toute la largeur de la 992. La proue plus longue et moins arrondie repose sur des ailes revues à la hausse qui abritent des phares ronds avec 4 leds : back to the sixties ! Les poignées de portes valent le coup d’œil…

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© 2018 Porsche Cars North America

Porsche 911 Carrera GTS aussi puissante que posée !

La seconde génération de la Porsche 911 Carrera GTS comporte six déclinaisons : un coupé, un cabriolet et une Targa, toutes trois disponibles en propulsion ou transmission intégrale pour combler le gap entre la 911 S et la 911 GT3. En mode « propu », nous avons passé des moments exaltants avec cette nouvelle arrivante qui abrite derrière le train arrière un 3 litres biturbo de 450 ch. Lequel peut compter sur le PASM, système d’amortissement pour abaisser la garde au sol de la voiture de dix millimètres sur simple pression d’un bouton situé sur la console centrale.

La dotation standard reçoit des phares bi-xénon fumés et un échappement sport qui distille une indicible sonorité GTS. Habitacle tout garni d’alcantara comme le volant et les sièges sport au parfait soutien lombaire, cuir sur la planche de bord où le compte-tours (zone rouge à 7400 tours) est toujours bien situé au milieu, contact toujours à gauche du volant,… tout est net et sans imperfection. Même les porte-gobelets sont ajustables au diamètre du flacon et les p’tits bacs de rangement dans les portières sont à couvercle éclipsable comme les strapontins. Duitse strengheid, wat !

A l’extérieur, la différence se niche dans ce fameux « corps » de 911 Carrera 4 : des ailes arrière larges et évasées, des jantes de 20 pouces dotées d’un écrou central noir mat qui fixe des Pirelli P Zéro de 245/35 à l’avant et 305/30 à l’arrière…, d’énormes bouches d’admission d’air et des sorties d’échappement noires chromées au milieu : nous, on les préfère aux extrémités comme par le passé.

Avec 20 chevaux de plus que celle qu’elle remplace, cette GTS décoiffe.

D’abord par son couple de 550 Nm de 2150 à 5000 tours. Ensuite par ses accélérations de 0 à 100 km/h en 4 secondes ! Nantie de la boîte automatique à 7 rapports avec d’imposantes palettes acier au volant, sans oublier le clignotant muet (si, si !), elle s’en va taquiner les 306 km/h. Le choix possible entre 4 modes de conduite pour une réactivité optimale comme celui de la sonorité de l’échappement ajoute encore au plaisir de mener la belle à la chasse aux virages dans lesquels sa direction électromécanique ravit. Même avec 4 roues directrices, l’humilité est de mise : les deux mains sur le volant, svp ! N’en reste pas moins que cette merveille de technologie et de design s’accommode parfaitement d’un usage de bon père de famille : sans aucunement rugir, elle s’insinue alors discrètement dans le flot du trafic tout en procurant un rare plaisir de naviguer à son bord. Personnalisable à l’envi, cette voiture de sport faite pour le quotidien régale plein pot. On s’en met tant dans la vue que dans les oreilles avec cette perle maniable en diable pour qui sait se montrer patient dans l’apprentissage de sa quintessence. Oui, c’est franchement grisant de la piloter : la montée dans les tours est remarquablement linéaire sans le moindre à coup d’une boîte auto de derrière les fagots. Une œuvre d’art signée Zuffenhaussen qui ne prend jamais une ride depuis 55 millésimes. Une des plus subtiles et majestueuses concrétisations de la sempiternelle expression « remettre son ouvrage sur le métier ». Respekt.

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© 2018 Porsche Cars North America

Mercedes-Benz

La nouvelle Classe A

Le plein d’intelligence artificielle

Dites «Hey Mercedes !» en vous installant à bord. Elle aime ça, la nouvelle Classe A. Première voiture de la marque phare de Daimler à exploiter l’intelligence artificielle.

Mots : Bob Monard
© Mercedes-Benz

Rassurez-vous : iI ne vous faut pas être sorti d’une école de programmation pour conduire la nouvelle Classe A. En revanche, parlez-lui. Elle aime ça. Elle vous écoutera et fera tout pour vous satisfaire. Commencez par lui dire «Hey Mercedes !», ce qui, la première fois, surprendra vos passagers. Et faites suivre ce bonjour amical d’une commande. Ou d’un état. Par exemple, «j’ai froid !»; le système ajustera la température automatiquement, sachant que, pour vous, la température idéale est de 23 degrés, 24 degrés ou…

Ce joli modèle est un «assistant personnel», ne craint pas d’affirmer Daimler. Cette allemande racée a le goût de Sunnyvale, capitale des nouvelles technologies en Californie. C’est là qu’elle a été conçue, entourée d’ingénieurs de la marque et de petits génies de l’informatique. C’est là, aussi, qu’est né le MBUX (Mercedes Benz User Experience). Derrière cet acronyme peu sexy, une ambition folle : doter les voitures d’intelligence. Pas question de refaire le coup de HAL 9000, le robot de 2001 Odyssée de l’Espace, non. Pas de danger. Cette intelligence -dite artificielle- se contente d’apprendre à nous connaitre, à devancer nos envies.

Mercedes-Benz

Le MBUX peut apprendre une foule de choses à propos de nos besoins et de nos habitudes au volant, ce qui l’aide ensuite à prédire nos choix et nos actions. A bord, le MBUX c’est aussi une atmosphère. L’affichage sur les écrans est extrêmement clair, tandis que les menus sont hiérarchisés pour privilégier les fonctions les plus souvent utilisées. Plus besoin de faire défiler des menus interminables. L’effet des nouveaux réglages est immédiatement visualisé et se passe d’explication, notamment grâce à l’utilisation de deux puces graphiques Nvidia de dernière génération, particulièrement puissantes.

Assimilant nos habitudes, le MBUX peut nous prévenir qu’un embouteillage rallongera le temps de trajet habituel vers le lieu de travail, que la boulangerie du dimanche matin est fermée pour cause de vacances, qu’il est temps -en cas d’oubli- d’appeler un membre de la famille comme un occupant à un moment précis de la journée. Fascinant ! Un rien inquiétant, aussi. Mais Daimler le jure : les données ne quittent pas la voiture. Mercedes ne récolte aucune donnée personnelle, pas plus qu’elles ne sont confiées à des tiers.

Quant à l’interface, elle se compose d’un large tableau de bord numérique et tactile à haute résolution, d’un système de navigation avec réalité augmentée et d’un affichage «tête haute» sur le pare-brise… Cette nouvelle Classe A n’en reste pas moins une voiture. Belle, stylée. Longue de 4,42 mètres, donc étirée de 13 centimètres par rapport à la troisième génération. A la clé, outre une amélioration de la visibilité périphérique, un habitacle plus spacieux, notamment à l’arrière. Un meilleur confort d’assise, aussi. Pour le reste, mêmes motorisations, mêmes sensations de conduite. Du bonheur, avec ce plus d’intelligence artificielle.

Mercedes-Benz

Mercedes-Benz

www.mercedes-benz.be/fr


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Porsche

Cayenne E-hybrid

Marque emblématique, Porsche n’a de cesse que de remettre son ouvrage sur le métier. Diesel, 4X4, SUV,…le légendaire constructeur de Stuttgart innove en permanence. A témoin son Cayenne hybride. Qui vient de se coiffer de quelques chevaux additionnels. Dégustation.

Mots : Bob Monard
© Porsche

Le Cayenne de la troisième génération se propose avec des blocs essence 6 et 8 cylindres biturbo de 440 ch et 550 ch. Propreté correcte oblige, il s’apprécie également avec une motorisation hybride désormais portée à 347 ch.

Ce nouveau Cayenne E-Hybrid rechargeable bénéficie maintenant de la stratégie de « boost » inspirée de celle de la 918 Spyder. Ça pousse en permanence ces 462 canassons réduits au… mutisme en mode électrique : idéal pour se mouvoir en ville où le respect de la couche d’ozone et le silence de progression raviront les éco-bobo-branchés.

Ce SUV s’en remet à la nouvelle boîte Tiptronic S à 8 rapports : encore plus confortable et plus souple pour des changements de rapport plus rapides.

5 secondes pour atteindre le 100 km/h et 253 km/h en pointe : respect !

Le Cayenne E-Hybrid dispose d’une transmission intégrale active lui garantissant des avantages substantiels en termes de comportement dynamique, d’agilité, de contrôle de la motricité et de capacités en tout-terrain.

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Rayon équipement, on pointe la climatisation indépendante. Le système de chauffage et de conditionnement d’air actif lorsque le contact est coupé peut être contrôlé via un smartphone. Porsche Connect permet également de trouver et de sélectionner les stations de recharge.

Confortable en diable, il n’est pas peu fier de son très luxueux habitacle qui permet d’avaler les bornes sans se lasser.

S’il assume royalement sur le bitume et les pavés, il peut aussi s’aventurer hors sentiers battus où la transmission intégrale le met à l’abri de toute surprise même si « l’a travers tout » n’est pas son ADN favori.

Pro tant d’un châssis au top et de roues arrière directrices, ce Cayenne propre pense aussi à la vie de tous les jours : son coffre de 645 à 1610 litres fera le bonheur des familles pendant que son agilité et l’agrément de conduite raviront la personne au volant.

Biberonnant environ 7 litres aux cent et rejetant 78 grammes de CO2 au kilomètre, le nouveau Cayenne E-Hybrid est disponible à partir de 93.024,80 € TVAC.

Performant, élégant et sûr, ce Cayenne E-Hybrid l’est. Plus propre et plus connecté, itou. Un vrai bijou ce produit signé Zuffenhausen.

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Jaguar

E-Pace

Lovely baby Jaguar !

Les grands font toujours des petits ! La génétique se vérifie aussi très souvent dans le secteur de l‘automobile : le Jaguar F-Pace a désormais un petit frère dénommé E-Pace.

| Par Bob Monard |

 

Vous aimez le baby homard ? Vous raffolerez du baby Jaguar ! Il se nomme E-Pace.

Il se veut compact et emmène cinq occupants dans une atmosphère feutrée où le cuir participe grandement à la délicate ambiance de l’habitacle où la connectivité règne en maître. Agile et dynamique, ce « petit » SUV se propose en 2 et 4 roues motrices avec des blocs 4 cylindres essence de 250 et 300 ch et diesel délivrant 150, 180 et 240 ch via boîte manuelle à 6 rapports ou auto à 9 rapports. Au hasard des différentes déclinaisons, on pointe les sièges en cuir avant et chauffants avec 18 réglages électriques de la hauteur, de l’inclinaison et de l’extension de l’assise et du dossier, du soutien lombaire en 4 directions et des supports latéraux ! En sus de l’ionisation de l’air, la climatisation programmable avec préchauffage à distance, les vide-poches avec découpe pour téléphones.

Parmi les aides à la conduite, on retient l’aide au stationnement 360°, le régulateur de vitesse adaptatif, l’alerte de perte de vigilance (time for tea !), les caméras de recul, de surveillance d’angles morts et de reconnaissance des panneaux de signalisation. Last but not least, les gicleurs de lave-glaces chauffants comme le pare-brise et le volant !

Cet E-Pace séduit. Par son allure typée et par le plaisir qu’il procure tous usages confondus, conduite paisible ou soutenue il étonne…agréablement. Résolument premium et richement doté, sa modularité n’est pas exceptionnelle : les espaces de rangement s‘avèrent certes intelligents, son coffre avoue 1234 litres maximum mais les places arrière ne sont pas des plus spacieuses.. Avec sa sympathique bouille rondouillarde, l’E-Pace ravit le regard et son comportement alerte procure de bien agréables sensations même en tout-terrain où il excelle. Arborant élégamment le blason Jaguar, cet E-Pace décliné en 6 finitions fera le bonheur des ladies quand le F-Pace contribuera à l’enchantement des gentlemen. Lesquels ne s’interdiront certainly not l’exchange de leur félin bénéficiant de 3 ans de garantie, d’assistance et d’entretien gratuit. Very nice, isn’t ?…A la différence du baby homard, il n’y a pas de saison pour savourer ce baby Jaguar. Perfect, comme votre magazine préféré, dear readers.

De 36.050 à 65.150 euros

Jaguar

A COMMANDER CHEZ LAND ROVER WAVRE

Chaussée de Namur, 242 – 1300 Wavre Tel:010/450565

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BMW

Accro au X !

Evident que « faire dans le X » n’est jamais considéré comme une noble tâche.

| Par Bob Monard |

 

N’en déplaise aux esprits puritains et aux âmes bien pensantes, le X ne désigne pas obligatoirement les pellicules autrefois projetées dans les salles obscures des bas quartiers. Ni les sites internet dédiés au réveil des libidos dépressives.

Entre BMW et le X, c’est une longue histoire d’amour. Pas sur la toile mais sur le bitume !

Tout commence en 1999 lorsque le constructeur munichois lance son X5. Il crée ainsi une niche qui ne cesse de connaitre un succès grandissant: les SUV. Et le X5 de s’accompagner des X3 en 2003, X6 en 2008, X1 en 2009 et X4 en 2014.

Toutes ces BMW estampillées X partagent habitabilité, confort, dynamisme et tenue de cap impressionnante. En sus de motorisations essence et diesel de caractère qui laissent galoper de 136 à 381 chevaux. Demain, elles seront rejointes par le X5 de quatrième génération avec suspension pneumatique en option ainsi que motorisation rechargeable. Et par le nouvel X 7 à même de mouvoir 7 occupants.

Dévoilé en première européenne au dernier Salon de Bruxelles, le X2 vient combler le gap entre le X1 et le X3. Un X à part. Version coupé du X1 comme le X4l’ est pour le X3 et la X6 pour le X5, cet SUV compact (4,36m X 1,83 m X 1,53 m) repose sur l’ADN du X1 tout en se la jouant perso par rapport aux autres X bavarois.

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Labelisé sDrive en deux roues motrices et xDrive en traction intégrale, ce nouvel opus X est dispo en eurosuper de 136,140 et 192 ch comme en diesel de 150, 190 et 231 ch avec boîte auto à sept et huit rapports plus double embrayage ou manuelle à 6 paliers.

Ce X2 se repère à sa surface vitrée contenue, sa calandre inversée, son hayon moins incliné avec poignée d’ouverture intégrée à l’emblème BMW, ses passages de roues proéminents prolongés par de subtils bas de caisse et ses épaules affirmées avec le logo Béhem comme sur les défunts coupés 2000 CS et 3.0 CSL des millésimes septante. Il se veut original et pro te d‘un équipement impressionnant. Dont une connectivité au top, l’aide au maintien de voie, l’alerte collision, le freinage pour les piétons, le régulateur adaptatif avec fonction d’arrêt comme la fonction semi-autonome dans les embouteillages. Ajoutons le toit panoramique translucide et ouvrant sur les sièges avant.

Identifié Coupé Sports Activity par la maison- mère, et Premium comme ses frères X, il se veut résolument moderne, robuste, pratique et accueillant en termes d’habitabilité avec un coffre dont le volume oscille entre 470 et 1355 litres. Tablez entre 34.650 et 47.200 euros.

BMW avoue une addiction pour le X ? Ça tombe bien : nous aussi ! …


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Mustang

Back to the sixties !

Mustang ! Un mythe depuis 1964. Et ressuscité un demi-siècle after. Pour le plus grand bonheur des accrocs du chrome et des mécaniques US. Merci à Lee Iacocaa pour sa « pony car ».

| Par Bob Monard |

 

Avec son nom de code MKI, la Mustang brise tous les codes et colle pile poil aux attentes des jeunes américains qui rêvent de renouveau. Le pari est gagné : plus de 20.000 exemplaires trouvent acquéreur durant les 24 premières…heures de sa commercialisation !

Même pour les non-passionnés de carrosserie peu banale et de blocs survitaminés, la Mustang n’est pas une caisse sportive de plus. Adroitement popularisée par le 7ème art du Vieux Continent via sa présence XXXLLL dans « Un homme et une femme « de Claude Lelouch et dans « Le gendarme de St-Tropez » avec Louis De Funès sans oublier Steve Mac Queen alias le Lieutenant Frank Bullitt dont la Ford Mustang GT Fastback verte accède au panthéon du 7ème Art après la célèbre course poursuite dans les rues de San Francisco souvent en pente raide dans les descentes vers le port.

L’allure, le bruit et la vitesse de ce modèle Ford sont inscrits à jamais dans la légende de l’automobile et de la pop culture.

C’est également une Mustang qui tient la vedette du lm Eleanor 60 Secondes Chrono avec Nicolas Cage. Il s’agit d’une Mustang Fastback kittée de 1967, de couleur gris tungstene avec deux bandes racing noires de type Shelby qui lui confèrent un look d’enfer dans cette super production Hollywoodienne.

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Un constat : la Mustang marque les amateurs de performances pures et dures avec ses GT et Shelby GT 350. Ensuite par l’entremise des supercars Shelby GT 500, Super Cobra Jet 429, Boss 302 et Boss 429.

Proposée en coupé, cabrio et fastback, la première Mustang est basée sur la Ford Falcon et abrite un 6 cylindres de 2,8 litres ainsi qu’un V8 de 4,2 ou 4,7 litres. Avant le dernier opus, la cavalerie V6 de 3,7 litres développe 305 ch et le V8 monté à 5 litres libère 426 ch.

Symbole de la voiture sport US, la Mustang perd quelque peu de sa superbe dans sa deuxième déclinaison de 1973, correctitude automobile oblige sur fond de crise pétrolière. Et d’enchaîner 4 refontes jusqu’à la dernière perle dévoilée en 2015. Applause pour le come-back de cette muscle car.

Le dernier opus Mustang, présenté au Salon de Francfort de septembre 2017 et tout ragaillardi pour le millésime 2018, reprend dèlement l’esprit de sa glorieuse aïeule : un même pro l…actualisé, un long capot doublement nervuré, les feux blancs obliques à l’arrière, la calandre trapézoïdale avec le cheval sauvage du Nord-Ouest américain, les rétroviseurs distants de la vitre ainsi que la planche de bord typée yankee. Un régal, d’autant qu’on s’en met plein les mirettes merveilleusement bien installés dans des fauteuils cuir au soutien impeccable. Passer du cabrio Convertible à la Fastback tôlée, qu’importe : le plaisir est à chaque fois sublime car la mélodie des différents merlins (de 290 chevaux pour le 4 cylindres aux 450 canassons du V8) est somptueuse. Une sonorité sourde à tous les régimes qui nous change par bonheur de mécaniques qui hurlent prétentieusement sans susciter la moindre sensation sinon celle de vous briser les portugaises. Et pour les afficionados de la puissance débridée, la Mustang Shelby GT 350 R de 526 bourrins sauvages les ravira !

Au volant, le plaisir de rouler est à son comble. Quel que soit le rythme. Idéalement positionné face aux différentes commandes dont les légendaires interrupteurs à bascule, on se réjouit de l’inouïe précision de la grille de boîte à 6 rapports. La direction à assistance électrique est rigoureuse, les suspensions sélectionnables à souhait, le freinage impressionnant,…one in word as in one hundred a fabulous car !

Cerise sur le gâteau, cette Mustang ne vous dérobe pas le portefeuille.Facturée de 37.000 à 50.000 euros, la bête fait dans le raisonnable. Dénichez donc pareille cavalerie avec tout le toutim et autant de dociles canassons à ce tarif !

Imposibel!

Yes, la Mustang vous fait oublier le temps présent en vous catapultant dans les golden sixties, la modernité en plus. Congratulations for this US legend car.

 

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Range Rover P400E

Plus beau et up to date

Toujours aussi luxueux mais plus sobre, le Ranger Rover en devient encore plus désirable. Parce que plus propre…

| Par Bob Monard |

 

La ligne extérieure, châssis court et long, évolue tandis que l’habitacle se montre encore plus confortable et gagne des équipements destinés aux nouveaux besoins de la vie quotidienne.

Depuis son apparition en 1970, le Range Rover a toujours été synonyme de summum du luxe automobile pour son conducteur comme pour ses passagers.

Sans cesse en quête de perfection et de raf nement, il trône en tête des SUV. Aujourd’hui, il reçoit une motorisation hybride rechargeable sans oublier de choyer plus encore ses occupants. Ainsi les sièges avant plus larges, plus douillets, chauffants et refroidissants (comme l’accoudoir, les repose-pieds et les repose- mollets) sont réglables sur 24 axes et gérables par une application sur smartphone, à l’intérieur comme à l’extérieur du véhicule.

L’habitacle se complète avec l’infodivertissement Touch Pro Duo dernier cri : deux écrans tactiles haute dé nition de 10 pouces superposés sur la console centrale.

Très efficient, ce nouveau Range Rover P400e autonome, connecté et électrifié tire parti du quatre-cylindres essence 2,0 litres Ingenium de 300 ch accouplé à une unité électrique de 116 ch. Ces 404 ch sont envoyés aux quatre roues motrices permanentes. Bilan ? 0 à 100 km/h en 6,8 secondes et une vitesse maxi de 220 km/h. Couple de 640 Nm, 64 g/km en cycle mixte NEDC, autonomie en tout-électrique de 51 km, la puissance et la sobriété se conjuguent très élégamment avec un confort on ne peut plus raf né : store occultant à commande par geste devant le rétroviseur, ionisation de l’air de l’habitacle, difficile d’imaginer plus quintessencié.

Modèle de silence et de savoureuse ef cacité dans toutes les conditions de circulation, ce nouveau Range opte soit pour un mode hybride (mode de conduite adopté par défaut) combinant propulsion essence et électrique, soit pour un mode EV qui fonctionne uniquement en électrique avec batterie lithium-ion rechargeable en 2h45 sur une prise de 32 ampères ou 7h30 via un chargeur domestique 10 ampères.

Majestueux, dominant de la taille et de la toiture le reste de la production automobile, aussi à l’aise sur les pavés du Sablon un soir de drache belgo-belge que dans les lacets escarpés des chasses à Libramont, ce Range Rover propret conjugue avec une touch toute britonne luxe et sport.

Impressionnant. Tant par son comportement que par sa nition de manoir anglais avec ses ef uences de genuine leather, le P400e décline un autre trend de full mobility up to date. The right vehicle on the right place, isn’t it ?

Sur nos routes en janvier 2018 en échange d’un plus de 100.000€.

 

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