C’est bon, c’est belge
Photo : Mora Mora
Le remède contre la morosité de janvier ? Mora Mora, la marque belge de liqueur à base de rhum ! Cette délicieuse boisson se savoure froide ou chaude, en apéritif ou digestif. A tester, la recette « Island coffee ».
Cette boisson a déjà séduit la scène internationale des cocktails en décrochant deux médailles (une médaille d’argent pour la catégorie Meilleur produit et la médaille pour le meilleur packaging) au festival des spiritueux de San Diego (États-Unis).
Mora Mora est née dela romance entre le Belge Philip et Fanja, une cheffe originaire de Madagascar. Fanja a sublimé une recette familiale datant de plusieurs siècles, à base de délicieux ingrédients tels que la meilleure vanille de Madagascar, des amandes, du café et des oranges. Résultat : une étonnante liqueur à base de rhum qui se déguste aussi bien on the rocks que dans un café chaud, par exemple !
Cet hiver, on ignore le froid extérieur en se réchauffant avec un Island Coffee autour du feu de bois !
Ingrédients :
- 5 cl de liqueur à base de rhum Mora Mora
- 1 café
- crème légèrement fouettée
Préparation et présentation
Versez la liqueur à base de rhum Mora Mora dans un élégant verre à café et ajoutez délicatement le café. Ajoutez la crème légèrement fouettée. Vous pouvez aussi garnir votre verre avec des copeaux de chocolat. Santé !
Mora Mora est disponible en ligne : https://www.rhum-moramora.com/
Vous aimerez peut-être
Pourquoi on aime le Food Market de la Gare Maritime
Transformer une ancienne gare maritime en hotspot gourmand au cœur de Bruxelles, fallait oser!…
Place to be,Be Travel,Be Tasty
Escapade à deux dans la Grande Forêt d’Anlier
Direction le Château de Grandvoir pour découvrir la gastronomie de terroir du chef Tristan……
On n’a pas tous les jours 100 ans !
C’est en 1921, à deux pas de la Grand-Place, qu’ouvrait le restaurant Aux Armes de Bruxelles… Un…

Volume 20
Bouli Lanners arbore la triple casquette de scénariste, acteur et réalisateur dans « Nobody has to know », love-story tournée en Ecosse et en anglais. Et dire qu’on croyait que Bouli n’aimait que la Wallonie !